« Le résultat ? Émouvant. Stéphanie Colle était troublante dans son interprétation du deuil. La voix tonitruante d’Emmanuel Prud’homme portait comme nulle autre. Le courant passait au sein de ce groupe hors du commun. »
- Catherine Handfield, La Presse, 23 octobre 2023
« On a pu se régaler des excellentes performances... Des impros courtes et rythmées, inspirées parfois de tableaux, ponctuées de musique improvisée aussi... une bien belle formule qui a permis à tout le monde de passer un beau moment et aux artistes de se mettre en valeur dans le plaisir. »
- Yanik Comeau, Théâtralités, Zone Culture, 2019
« Un spectacle parfait pour notre époque affamée. »
- Mario Cloutier, En toutes lettres, 27 février 2019
« Dès l’ouverture, avec la Complainte de Sainte-Marie harmonieusement entonnée en choeur, le charme opera (… ) Les trois interprètes s’en tirent d’ailleurs avec les honneurs par leur triple maîtrise du jeu, du chant et de la gigue. Un art exigeant, qui révèle ici son surprenant potentiel théâtral. »
- Marie Labrecque, Le Devoir, 26 février 2019
« La directrice des Productions des pieds des mains fait converger ses passions de manière hautement concluante... C’est tour à tour drôle, critique, tendre, poétique et poignant. »
- Christian St-Pierre, Revue Esse, 27 février 2019
« Appuyée par une Marilyn Perreault d’une surprenante intensité et d’un Olivier Rousseau dont la rigueur corporelle donne droit à de riches moments sans paroles, Marion-Rivard s’abandonne sans la moindre retenue au profit d’un souci de vérité rarement aussi bien reflété. »
- Alexane Roy, Monthéâtre.qc.ca, 22 février 2019
« Cendres est une pièce tout en contrastes, à la fois comique et particulièrement touchante. »
- Nacie Boulay, Alternative Rock Press, 24 février 2019
« À travers de nombreux apartés musicaux, composés de chants et de danses traditionnelles, qu’elle (Menka Nagrani) réussit à approfondir sa réflexion identitaire initiale en lui insufflant une portée nationale touchant toutes les personnes attachées au Québec. Il est donc très facile de s’émouvoir devant l’interprétation des acteurs. »
- Marie-Anne Audet, Le Culte, 25 février 2019
« Un texte vraiment magnifique de Emmanuelle Jimenez, c’est son meilleur à jour (…) la gigue, ça marche! On peut giguer sa peine. »
- Marie-Christine Blais, Culture Club, Ici Première, 23 février 2019
« Grace à une mise en scène riche et créative de Menka Nagrani, le spectateur plonge dans un univers à la fois drôle, angoissant et singulier. »
- Emmanuel Martinez, Journal de Montréal, 25 février 2019
« C’est très réussi les propositions et idées très fortes de la part de la créatrice Menka Nagrani. Les pas de danse viennent appuyer, augmenter l’émotion, c’est bien fait ! »
- Evelyne Charest, Gravel le matin, 21 février 2019
« Tout comme dans sa version unique du Chemin des Passes-dangereuses, Nagrani s’inspire des éléments de notre patrimoine pour les réinvestir dans une démarche de création contemporaine aux accents de chez nous (…) une nouvelle forme de théâtre musical et dansé. »
- Denis Daniel Boullé, Fugues, 23 janvier 2019
« Cendres est à voir pour la justesse de ses mots, la sensibilité des acteurs et l’authenticité de la mise en scène. »
- Maëlle Souffrin-Ammoun, Océane’s Family, 2 mars 2019
« La gigue, solidement campée par les interprètes, s’intègre si bien aux déroulements des choses qu’elle en devient partie intégrante, elle est le souffle théâtralisé. »
- Marie-Christine Lemieux-Couture, Revue Jeu, 24 février 2019
« Avec son adaptation de la pièce de Michel Marc Bouchard, Menka Nagrani réussit ce dont beaucoup rêvent, mais ce que peu réussissent: une fusion théâtre-danse où les deux disciplines triomphent grâce à des performances exceptionnelles. »
- Mario Cloutier, La Presse, 20 février 2015
« Magnifiquement interprété par Arnaud Gloutnez, Félix Monette-Dubeau et Dominic St-Laurent qui ont su révéler l’immense richesse de la danse traditionnelle. »
- Audrée Plamondon, Boucle magazine, 18 février 2015
« On sent que le trio a été bien dirigé notamment dans l’apprentissage de la gigue (…) les spectateurs ont salué avec enthousiasme la performance de ces interprètes et la créativité de Menka Nagrani. »
- Micheline Rouette, Alternativerockpress.ca, 15 février 2015
« J'ai vu au théâtre Prospero une vraie pièce d'hommes! Une pièce, un show de gars! C'est une version unique, inusitée et étonnante (…) C'est un suspense inattendu, un dénouement encore plus tragique que celui qu'on anticipe. C'est dur, c'est musclé, c'est profondément humain et ça vaut le déplacement. »
- Francine Grimaldi, Samedi et rien d'autre, Radio-Canada, 14 février 2015
« Le mariage entre la danse et le théâtre proposé par Menka Nagrani dans Le chemin des passes-dangereuses (...) rend justice au magnifique texte de Michel Marc Bouchard. L’effet est «rentre dedans» (…) Chapeau aux comédiens, qui sautent, roulent, jouent des pieds et des mains, suent tout en livrant leur texte avec sensibilité. Tout cela établit une tension, comment dire… très mâle! »
- Roxane Léouzon, Journal Métro de Montréal, 10 février 2015
« Audacieux, le pari formel aurait pu s’avérer artificiel dans son exercice ; à mon oeil, le croisement révèle plutôt ce qu’il y a de profond, d’actuel et de théâtral dans nos errements et nos paradoxes collectifs. »
- Alexandre Cadieux, Le Devoir, 10 février 2015
« La proposition de Menka Nagrani peut sembler déroutante sur papier, mais quelques instants suffisent pour réaliser comment le geste peut se révéler le moteur idéal pour transmettre les tensions entre ces trois frères (…) Elle se révèle un hybride intéressant, qui abolit la frontière entre théâtre et danse, mais surtout nous reconnecte autrement à une tradition que nous voudrions trop souvent nier. »
- Lucie Renaudt, JEU Revue de théâtre, 9 février 2015
« Nagrani réussit avec brio le défi qu’elle s’était donné: utiliser la danse pour éclairer un texte de théâtre contemporain. Et la pièce de Michel Marc Bouchard se prête parfaitement à l’exercice. »
- Sara Thibault, Monthéâtre.qc.ca, 9 février 2015
« Les interprètes de Nagrani étonnent par leur polyvalence et l’intensité de leur investissement physique. (…) ils réussissent à nous emporter dans leur plaisir du mouvement (…) comme si à travers la gigue, les frères se rapprochaient enfin du tranchant de la vérité, le rythme devenant un langage à part entière. »
- Émilie Coulombe, Les Méconnus, 8 février 2015
« Le Chemin des Passes-Dangereuses est un gros coup de cœur (…) La mise en scène est très belle et particulièrement rythmée par des musiques traditionnelles, des moments dansés mettant en lumière la gigue, danse québécoise. Un bel hommage à la culture du Québec! »
- Sophie Gérard, Kulturellement vôtre, 8 février 2015
« Les acteurs sont époustouflants autant dans le jeu que dans la danse. Le mélange gigue-théâtre est un pari réussi… Menka Nagrani réussi un tour de force. »
- Francis Lepage, Le Polyscope, 29 janvier 2016
« La performance de Felix Monette-Dubeau, Arnaud Gloutnez, et Dominic St-Laurent, est des plus impressionnantes (…) le geste, la danse et la gigue s’associant très bien à la puissante histoire de Michel Marc Bouchard. »
- Cassandre Chatonnier, pieuvre.ca, 19 janvier 2016
« Vos productions artistiques sont des innovations en ce qui concerne l’art de la scène, car vous avez été l’une des premières au Québec à avoir réussi à monter des spectacles professionnels et audacieux avec des personnes handicapées intellectuelles. »
- Christina Brassard, Revue Jeu, n 151, février 2014
« Le résultat est stupéfiant… Exactement ce qu'on attend du théâtre »
- Jean Siag, La Presse, 4 juin 2012
« Cette créatrice [Menka Nagrani] initie une prise de conscience triplement audacieuse de par les propos dont elle traite, la façon dont elle les met en scène ainsi que de par le choix courageux de ses interprètes. Peut-être un génie avant son temps, peut-être une icône en devenir »
- Olivier Koomsatira, Danse Nouvelles Montréal, 20 novembre 2011
« J'ai été estomaquée par la puissance du spectacle. La particularité des comédiens donnait un tout nouveau sens au texte qui se veut absurde à la base. L'interprétation franche, naïve et ludique était en parfaite harmonie avec la mise en scène et avec le discours sous-entendu de la pièce. C'était un spectacle riche en symboles, intelligent, inusité et émouvant... »
- Arianne Clément, Reflets de société, Vol 15-1, 8 décembre 2010
« Looking back over 2007 [...] one of the five best productions in dance-theatre : Le Temps des Marguerites ... à la folie ou pas du tout! [...] a beautifully moving socio-political statement about age, image and identity. »
- Paula Citron, The Globe and Mail, 31 décembre 2007
« Le Temps des Marguerites... à la folie ou pas du tout! est une pièce attachante qui a un pouvoir que bien des performances techniquement élevées n'ont pas : celui d'accrocher sourire aux lèvres et de rendre le cœur léger. »
- Christine Laguë, DF Danse Le Magazine de la danse actuelle à Montréal, 17 mars 2007
« I was in tears at the end of Le Temps des Marguerites... The stage images and the winsome performances stay with one long after the show has ended. This ambitious, provocative and imaginative little company deserves to be seen across the country. »
- Paula Citron, The Globe and Mail, 17 mars 2007
« Marrainée par la comédienne Janine Sutto, qui aurait « adoré » le spectacle, Leçons se présente comme un savant mélange de danse contemporaine et de théâtre absurde... »
- Dominique Lachance, Journal de Montréal, 12 mars 2005
« Faire jouer la comédie à des jeunes présentant une déficience intellectuelle! Un projet ambitieux devenue une réalisation internationale réussie! »
- Michel Joanny Furtin, Courrier Ahuntsic, 23 janvier 2005
« La pièce [Le Temps des Marguerites] est surprenante et pleine de fantaisie... C'est étonnant de voir la ferveur et le professionnalisme avec lesquels les interprètes handicapés s'acquittent de leurs rôles. Leur jeu est certes différent, mais il est tout aussi intense et convaincant que celui de leurs collègues... La chorégraphe Menka Nagrani a imprimé un rythme de valse à l'ensemble de la pièce, ce qui ajoute à sa légèreté. »
- Stéphanie Brody, Critique Danse, La Presse, 3 décembre 2004
« ... le jeu des comédiens qui ont une déficience mentale a une valeur indéniable. Leur façon de rendre le texte et la danse est transparente et sincère, on serait tenté de dire pure. »
- Julie Parent, La Presse, 12 octobre 2004
« Les Productions des pieds des mains viennent de présenter à Montréal un très touchant spectacle... Intitulée Leçons, la pièce mêle acteurs handicapés intellectuels et non handicapés dans un ballet rondement mené, très fidèle à l'esprit onirique du maître de l'absurde. »
- Michel Vais, Cahier Théâtre-Jeu, édition 113-2204.4